Poème
Sur un bout d'autoroute
Une voiture en déroute
Un énorme choc à la tête
Ce n'est pas grave....peut-être!
Un virgule deux grammes
auront suffit à déclencher un drame
Cet automobiliste ivre
t'as empêché de vivre.
Quelques mois plus tard à l'hôpital
Entièrement détruit par le mal
Tu m'as dis tout bas
"Pitié, ne me rejoins pas"
Lentement tes yeux se ferment
Déjà ta vie atteint son terme.
Un toubib prends ta main, ton poul,
Et me dis "Il n'est plus parmi nous".
Je me souviendrai à jamais
De ce 4 juillet.
Adieu mon procidano
Ciao mon Bello.
Graziella.